Voici ma théorie du diabète. Vraie ou fausse, elle m’a permis de guérir du diabète, c’est à dire de ne plus avoir besoin d’aucun médicament: insuline, metformine, etc.
L’Humain n’a besoin ni de glucides ni de leurs amies les lectines. C’est prouvé par exemple par les Inuits avant 1960: ils mangeaient quelques rares baies poussant sur les buissons en été.
Les lectines les plus connues sont les glutens.
Le diabète est un excès de sucre dans le sang. Ce sucre vient des glucides et des lectines dans la nourriture. Donc une alimentation sans sucre et sans lectine s’impose :
A : ne consommer ni glucide, ni lectine, ni aucun aliment auquel on est intolérant ou allergique (huiles, pour moi) est la première diète à tenter. Cette diète ne peut que réduire la glycémie du diabétique.
Si cette diète ne suffit pas (j’ignore la fréquence de ces cas), les diètes B et C sont envisageables.
B : Manger un aliment unique, sûr, tous les jours, deux ou trois fois par jour. Un aliment est sûr s’il est sans glucide et sans lectine, et qu’on n’y est ni allergique ni intolérant. Pour moi, cet aliment unique peut être des sardines au naturel ou aux aromates ; ce peut être du poulet ; ce peut être du fromage, malgré mon intolérance au lait et au yaourt.
C : jeûner ne peut que réduire la glycémie. Mais le jeûne n’est pas pérenne car on ne peut jeûner indéfiniment, et une personne très affaiblie comme je l’étais (je pesais 55 kg pour 1,74 m) ne peut le supporter longtemps, peut-être pas assez longtemps pour ne plus avoir besoin de médicaments. D’après mes lectures, trois jours consécutifs de jeûne activent les cellules souches. Une personne en surpoids peut tenter de jeûner, mais en étant encadré, par prudence. Nota bene : le jeûne ne guérit certes pas tout : fractures, anorexie...
J’hésite entre B et C si A échoue. Mais je n’aurai pas à choisir, car la diète sans glucide et sans lectine va réussir en une semaine.
Je conjecture que ces diètes fonctionnent aussi bien pour le diabète 1 que pour le diabète 2. Cette conjecture est testable.
Si un diabétologue me lit, sait-on jamais, je préconise ce qui suit. Les doses de médicament (insuline, metformine) ne doivent pas être fixes ; elles doivent varier avec la glycémie, pour responsabiliser le patient, et l’encourager à réduire sa glycémie et ses doses, et l’encourager à réactiver son pancréas. Le patient doit être informé de l’existence de ces diètes. Le patient doit être encouragé à chercher la diète qui lui convient.
Pour éviter l’emballement du diabète par rétroaction, la diète doit commencer le plus tôt possible : d’une part, la durée en jours de la diète est la moitié de la dose quotidienne d’insuline: par exemple, pour une dose initiale d’insuline de 24 unités par jour, il faut une diète d’au minimum 24/2= 12 jours. D’autre part, il est envisageable qu’à la longue les injections d’insuline finissent par inactiver définitivement, irréversiblement le pancréas. L’expérience le dira. Personnellement, j’ai commencé la diète le lendemain du jour où j’ai compris cette rétroaction.
D’autres remèdes contre l’intolérance alimentaire sont envisageables et pourraient réussir, NAET par exemple.
D’autres intolérances alimentaires autres qu’aux sucres et aux lectines existent (aux huiles, pour moi). Il n’est pas toujours évident de trouver l’aliment à la source de l’intolérance. Par exemple, manger par inadvertance une seule et unique olive perversement dissimulée dans un fromage m’a rendu malade pendant deux semaines. Si je n’avais pas connu mon intolérance aux olives, aurais-je su que mes troubles intestinaux étaient dus à cette olive ? C’est pourquoi j’ai mentionné la diète B, de l’aliment unique.