J’ai été traité pour du diabète 2 : 60 ans, 1,74 m, moins de 62 kg, non fumeur.
Diamicron, insuline, Metformine.
En 1 semaine, Diamicron manque me tuer 2 fois : 2 hypoglycémies nocturnes. 2 rétinopathies.
Oups! Ah oui, c’est du diabète 1, génétique immun, insulino-dépendant, irréversible, incurable...
Pronostic : dans 2 ou 3 ans, j’aurai une pompe à insuline.
J’ai guéri. Comment? Je comprends que :
— plus je m’injecte de l’insuline, moins mon pancréas en produit.
— mon pancréas n’en produit pas assez car je mange du "poison" (par concision).
— pour moi, le "poison", c’est les glucides et les lectines. Pour les autres diabètiques aussi, je pense.
Donc j’arrête le "poison".
Presque chaque jour, ma glycémie est assez basse pour réduire de 2 unités ma dose d’insuline.
J’endure les douleurs du manque : le "poison" est addictif.
Après quelques jours, je n’ai plus besoin d’insuline. Youpi!
Je continue ma diète. Je ne l’ai jamais arrêtée.
Les douleurs du manque se dissipent en quelques jours.
Plus tard, je fais de même pour la metformine.
J’ai toujours suivi les prescriptions du diabétologue.
Aujourd’hui, je suis guéri : je n’ai plus de diabète, je ne prends aucun médicament.
Diabétiques 1, diabétiques 2, faites comme moi : à part les douleurs, provisoires, du sevrage et vous priver de vos plats favoris, cette diète ne vous fait courir aucun risque supplémentaire et ne vous cause aucun dommage supplémentaire.
Parents, si vous avez des enfants diabétiques, ne les laissez pas tomber dans le piège.